Autoconsommateur EnR

voitures eletriques travail ensemble avec les énergies renouvelablesDevenir auto-consommateur des EnR

L’autoproduction consiste à produire sur son propre site (maison, entreprise, etc.) tout ou partie de l’électricité que l’on consomme. Cette pratique est destinée à se développer dans un contexte où les coûts de production des installations d’électricité renouvelable diminuent et où les prix de l’électricité augmentent. Compte tenu de ses caractéristiques (énergie facilement accessible), cela est particulièrement vrai pour la filière photovoltaïque, sur laquelle les travaux du groupe ont donc été déclinés.

Pour des raisons d’efficacité énergétique, la limitations des pertes sur le réseau et d’optimiser les ressources.

L’autoconsommation peut se définir comme le fait de consommer sa propre production d’électricité. Elle est associée à la notion d’autoproduction, qui est le fait de produire sa propre consommation.

Exemple 1 : Si un consommateur, dans sa maison, recourt à une installation photovoltaïque de taille réduite, la production d’électricité de cette installation sera faible. Sa maison pourra donc consommer entièrement la production locale : son taux d’autoconsommation atteindra 100 %. En revanche, dans la mesure où la taille de l’installation ne permettra pas de produire à hauteur de la consommation totale de la maison, le taux d’autoproduction sera très faible. Le consommateur utilisera donc l’électricité du réseau traditionnel pour assurer une partie de sa consommation.

Exemple 2 : Si le consommateur recourt à une installation de taille plus importante qui lui permet de produire son électricité à hauteur de sa consommation totale, le taux d’autoproduction sera de 100 %. Cependant, dans ce cas, il est très probable que, pour couvrir sa consommation, l’installation soit surdimensionnée et produise en excès à des moments de consommation faible. Dans ce cas, l’autoconsommateur aura également besoin du réseau traditionnel pour réinjecter l’électricité produite localement et son taux d’autoconsommation sera vraisemblablement très faible (inférieur à 30 %).

Ainsi, dans la mesure où certaines installations renouvelables ne produisent pas d’électricité en permanence et ne peuvent donc pas couvrir à tout instant les besoins de consommation d’un site (notamment lors des périodes de pointe comme celle de la consommation du soir pour les installations photovoltaïques par exemple), dans la majorité des cas, le site devra pouvoir avoir recours au réseau électrique traditionnel ou acteur Smart.

Exemple 3 : Votre véhicule est la batterie de votre maison. Un très bon moyen pour y parvenir est de consommer ou stocker l’excèdent de vos énergies renouvelables pour votre mobilité au quotidien et de faire doublement des économies.

Une situation d’autoconsommation/autoproduction ne signifie pas être en autarcie énergétique. Les sites de consommation auront toujours besoin, à quelques exceptions, de recourir pendant certaines périodes au réseau électrique traditionnel soit pour se fournir en électricité, soit pour injecter l’électricité produite en excédent. Le rapport.

auto-consommation-enr-active

Pour vous y aider devenez ActiVE acteur de la transition énergétique et consulter le guide  GPPEP

…et votre commune ? la loi du 24 février 2017 précise les conditions de ce qu’on appelle ” l’autoconsommation collective”

Votre VE et les EnR travail ensemble

afin que cette révolution soit une bonne idée multipliez les usages de cette mobilité.

Enfin ! 😉  Alimenter sa maison et le réseau citoyen avec sa voiture électrique est certifié par RTE

RTE a certifié pour la première fois une solution permettant aux batteries de véhicules électriques de participer à l’équilibre du réseau électrique français,

Les commentaires sont fermés